Ruinart rompt avec les coffrets traditionnels et va plus loin dans sa démarche environnementale avec un nouvel étui pour ses cuvées : éco-conçue, cette enveloppe épouse exactement la forme emblématique des flacons de la Maison, telle une seconde peau.
Innovation durable
La Maison Ruinart met ici l’innovation au service du développement durable avec un habit tout en légèreté composé à 100 % de fibres de cellulose, entièrement recyclable. Avec l’étui seconde peau, Ruinart vise à bousculer les standards de la profession en matière de coffrets en prônant un retour à la nature, à réduire, à recycler, sans dénaturer l’expérience champenoise.
« Avec cet étui seconde peau, la Maison Ruinart confirme son rôle pionnier en Champagne, et son ambition en termes de responsabilité sociale et environnementale. Ce projet disruptif cristallise notre engagement pour un développement plus durable sur l’ensemble des étapes d’élaboration et de commercialisation de nos vins, depuis la culture de la vigne jusqu’à l’expérience de dégustation. » explique Frédéric Dufour, Président de la Maison Ruinart.
Le toucher au coeur de l’expérience
La coque minimaliste en papier se double d’un toucher doux et d’une surface texturée qui rappellent les crayères de la Maison, à Reims. Le design de l’étui réinterprète la gestuelle des établissements gastronomiques : il est inspiré par la manière dont les maîtres d’hôtels enroulent une serviette blanche autour des bouteilles de champagne.
Défi technique
L’utilisation de la fibre de cellulose ou pâte à papier a nécessité de résoudre deux défis technologiques. Le premier était de rendre l’étui imperméable à la lumière qui peut altérer le vin, notamment pour les flacons en verre clair. Le papier seul n’était pas une protection suffisante pour filtrer toutes les ondes lumineuses. Une nouvelle technique a été développée pour enrichir la pâte de cellulose d’un oxyde métallique naturel qui renforce l’opacité de cette seconde peau protectrice. Le second était de s’assurer que l’étui protège le vin jusqu’à la dégustation, résiste aux usages de service, y compris à l’humidité, sans se détériorer. Adapté à une conservation au réfrigérateur, l’enveloppe conserve son intégrité plusieurs heures dans un seau rempli de glace. Ruinart propose ainsi une nouvelle gestuelle. Au total, 7 prototypes furent nécessaires pour mettre au point cette coque en pulpe de papier qui épouse les contours de la bouteille, l’embellit et préserve le goût Ruinart.
Ruinart Seconde Peau sera proposé en avant-première du 15 septembre au 15 octobre à La Grande Epicerie de Paris. 50€ à 73€ pvc selon la cuvée.