Pour capturer l’expression de 2002 qui s’est révélée être une année particulièrement généreuse, la Maison Krug a élaboré un millésime baptisé « un hommage à la nature ». Décision forte et conviction profonde pour cette maison qui s’est emparée à sa manière si personnelle de la générosité du climat et de la gourmandise du fruit de cette talentueuse année.
.Une alliance rare entre finesse et vivacité.
Après plus de 11 ans de vieillissement en cave, cette bouteille de Krug 2002 est disponible dès ce moi-ci et le résultat final est à la hauteur de sa réputation ; dialogue entre pinot noir, chardonnay et meunier, il raconte l’abondance de la nature et l’histoire d’un millésime riche, avenant et particulièrement aromatique.
Robe dorée, nez élégant tout en finesse, association de fruits délicats et gourmands, ce champagne révèle une générosité d’arômes rares et un équilibre parfait entre maturité et fraicheur. En bouche, les notes croquantes de fruits, d’agrumes et d’épices sont nuancées en fin de bouche par une minéralité et une très belle tension.
.Une harmonie sophistiquée avec la musique.
Pour dévoiler l’émotion très particulière qui existe entre l’art de la musique et la création de ses champagnes, la Maison Krug a en corollaire développé un travail surprenant en collaboration avec plusieurs musiciens. La démarche menée démontre véritablement une autre manière de percevoir et déguster les arômes d’un champagne en fonction de la musique que l’on écoute et l’harmonie musicale idéale pour révéler les notes de Krug 2002 se formalise par des notes de jazz, plus particulièrement « No Love Dying » et « Liquid Spirit » interprétées par le new-yorkais Grégory Porter.
// Clémence Pillot photos Sébastien Foulard
